« Make » ou « Buy », deux modèles de Cloud, deux solutions ArrowSphere

taillardEric Taillard
VP Cloud EMEA, Arrow ECS

Darwin l’a dit et redit, et que l’on adhère ou pas a ce qui reste une théorie, l’histoire la conforte chaque jour : « ce ne sont pas les plus forts qui survivent, mais ceux qui s’adaptent le mieux aux changements ». Sans remonter trop loin, rappelons-nous juste que nous venons à peine de fêter les 20 ans du premier site web, et déjà le e-commerce représente plus de mille milliards de dollars ! Et déjà seuls ceux qui se sont adaptés ont survécus. Le Phénomène Cloud est au moins de la même magnitude et transforme déjà davantage le paysage IT que toutes les innovations précédentes.

[pullquote align= »right »]Comment capitaliser sur ses compétences historiques, sa base de clients fidélisés, chaque jour plus intéressés par le Cloud, et s’adapter à ce nouveau monde du « off premise », dont les règles sont si différentes ?[/pullquote]

Il répond à ces entreprises en quête d’agilité, réactives et concentrées sur leur vraie valeur ajoutée: leurs offres, leurs employés, leurs clients et leurs marchés potentiels, plutôt que sur les moyens. Or, soyons réalistes, La majorité de l’industrie IT voit ce Cloud depuis le début comme une menace. Souvenons-nous des premiers commentaires des Oracle, IBM and co … Le Cloud encore très récemment n’avait que deux catégories de supporters, d’un coté les « pure players » comme Salesforce ou Amazon et de l’autre, force la plus influente, les clients, qui voit à juste titre le Cloud comme le moyen de conjuguer enfin Opex et visibilité des couts, agilité et innovation.

Et entre ces 2 « forces », une myriade d’acteurs « traditionnels » qui tentent de composer entre ce qu’ils ont toujours fait avec succès dans le monde du « on premise » et ce nouveau monde du « off premise » où les règles sont si différentes, et parfois à juste titre, inquiétantes. Ainsi, certains « vendors traditionnels » comme Microsoft ou VMware sont très agressifs dans leur adaptation (365, Azur, Datacenter propres pour Vcloud etc..); d’autres sont plus timorés et l’on comprend bien qu’ils hésitent encore.

Et nos chers partenaires, revendeurs, éditeurs métiers, SSII, intégrateurs, sont exactement dans la même mouvance: comment capitaliser sur ses compétences historiques, sa base de clients fidélisés mais chaque jour plus intéressés par le Cloud, et s’adapter à ce nouveau monde du « off premise », dont les règles sont si différentes ?

Alors, aller vers le « make » (faire son propre Datacenter, lancer ses propres services cloud) ou plutôt vers le « buy » (revente de cloud sans Datacenter propre) sont autant de questions auxquelles ils leur faut répondre, et mettre en face les moyens et/ou partenariat adéquats.

Mais à tous ces partenaires qui croient comme moi aux théories darwiniennes, et quelle que soit leur maturité sur le sujet, je leur propose, de nous contacter lors des prochains états généraux du Cloud afin de voir ensemble comment, grâce à « ArrowSphere » (buy) ou ses dernières extensions « xSP central » et « Arrow Connect » (make), nous pouvons les aider à s’adapter et bénéficier de ce formidable gisement d’opportunités qu’est le Cloud.

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